L’hypnose, pour qui, pour quoi ?

« Je n’y arriverai jamais ! », « Je ne sais pas pourquoi,  je me sens bloquée », « Je sais que je ne dois pas mais c’est plus fort que moi », « Je ne peux pas m’empêcher  de…», « Je tourne en rond je ne trouve pas de solution », « J’ai beau savoir que je ne risque rien, j’ai peur quand même » …

Autant de situations que chacun de nous peut connaitre à un moment de sa vie.  Des situations dans lesquelles la volonté seule ne suffit plus. Parce que cela se joue à un autre niveau, à un niveau inconscient.

Nos états émotionnels (conscients ou inconscients) sont à l’origine de bien des symptômes : insomnie, troubles alimentaires, addictions, difficultés relationnelles, difficultés d’apprentissage,  timidité, angoisses, stress, phobies, obsessions, compulsions, traumatismes etc.

L’objectif de l’hypnose n’est pas d’analyser les causes et de les comprendre (la psychothérapie le fait très bien) mais d’agir à un niveau inconscient pour désactiver des mécanismes, changer un mode de fonctionnement, pour faire disparaître le symptôme.

Il n’y a pas de contre indication particulière à la pratique de l’hypnose.

Pour autant, les troubles psychiatriques doivent faire l’objet d’une prise en charge médicale. Dans ce cas,  la pratique de l’hypnose ne pourra être envisagée que sur recommandation d’un professionnel de santé.

De la même manière, pour les troubles sévères pouvant toucher à l’intégrité physique de la personne, l’hypnose ne se substitue pas à l’avis d’un professionnel de santé. Elle peut par contre s’avérer être un complément très efficace.

Ces points seront abordés au cas par cas en début d’accompagnement.